le marketing, la publicité qu'implique les dessins-animés pour enfants

L'ENFANT VA AUSSI SE CONSTRUIRE AVEC CE QU'IL VOIT SUR LES ECRANS. LA PUBLICITE ET LES ATTENTES DES PRODUCTEURS MERITENT D'ETRE DECODES.

On lit dans les magazines féminins que pour éviter de céder à la consommation, il faut éviter de faire les courses avec ses enfants, car ils influencent largement, et parfois de manière surprenante le choix des produits achetés. "Maman, tu m'achètes ces céréales ?", attiré-e par le jouet proposé sur l'emballage, notre petit-e chéri-e nous influence malgré nous. Pourquoi ne pas lui faire plaisir de temps en temps ? Et si on n'est pas vigilant-e, on peut vite se laisser prendre au piège. Cela commence avec les céréales, et continue avec les livres (c'est éducatif après tout), les slips (tant qu'à acheter des slips, autant en prendre avec Flash McQueen), les fourres de duvets, etc... Et on peut vite se retrouver avec une armoire et une chambre d'enfant pleine de marques et de logos, alors que notre enfant a à peine un an ...

"Mon enfant n'est pas un coeur de cible" : un livre qui dénonce les 796 heures par an qu'un enfant peut passer devant un écran et qui montre comment la télévision va formater de futurs consommateurs. Ici la présentation du livre chez Acte Sud.

Des sites avec articles sur la publicité et les enfants : union nationale des Associations Familiales, réseau éducation-médias, maman pour la vie, et sur Internet vous en trouverez encore de nombreux autres.

Produire des dessins animés a un coût, et l'on peut le réduire et ainsi maximiser le retour sur investissement. Ici un document pdf sur le business et la bonne rentabilité dans l'animation en 8 points. Ici, ce que qui intéresse la bourse quand on parle des dessins animés.

Le journal du net vous présente quelques séries, ici point de réflexions sur les valeurs, mais plutôt sur les possibles succès commerciaux.

Le dessin animé français se veut promouvoir des valeurs, être éducatif (passons sur la qualité graphique...). Ici un mémoire sur cette production qui veut jouer dans la cour des grands. Valeurs et éducation certes, mais que reste-t-il après le besoin de conquérir des marchés ?

Plus général : Mathieu Vialettes, étudiant à ESC Toulouse propose un dossier sur le marketing générationnel. Il y étudie l’importance et les caractéristiques de la cible "enfants" pour les professionnels du marketing des biens de grande consommation (pas seulement le dessin animé), sur le site Marketing & Innovation.

Il existe des films pensés uniquement pour vendre un produit, par exemple Twinkle Toes, imaginé pour promouvoir des chaussures brillantes pour les filles. Des séries comme Jayce et les conquérants de la lumière, Pokemon, ... ont été produite pour faire vendre des voitures ou un jeux vidéo.


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			Derrière la production de dessin animé, il y a un marketing, des produits dérivés, des annonceurs, des producteurs. Une logique commerciale bien dissimulée.
		L'ENFANT VA AUSSI SE CONSTRUIRE AVEC CE QU'IL VOIT SUR LES ECRANS. LA PUBLICITE ET LES ATTENTES DES PRODUCTEURS MERITENT D'ETRE DECODES. On lit dans les magazines féminins que pour éviter de céder à la consommation, il faut éviter de faire les courses avec ses enfants, car ils influencent largement, et parfois de manière surprenante le choix des produits achetés. "Maman, tu m'achètes ces céréales ?", attiré-e par le jouet proposé sur l'emballage, notre petit-e chéri-e nous influence malgré nous. Pourquoi ne pas lui faire plaisir de temps en temps ? Et si on n'est pas vigilant-e, on peut vite se laisser prendre au piège. Cela commence avec les céréales, et continue avec les livres (c'est éducatif après tout), les slips (tant qu'à acheter des slips, autant en prendre avec Flash McQueen), les fourres de duvets, etc... Et on peut vite se retrouver avec une armoire et une chambre d'enfant pleine de marques et de logos, alors que notre enfant a à peine un an ... "Mon enfant n'est pas un coeur de cible" : un livre qui dénonce les 796 heures par an qu'un enfant peut passer devant un écran et qui montre comment la télévision va formater de futurs consommateurs. Ici la présentation du livre chez Acte Sud. Des sites avec articles sur la publicité et les enfants : union nationale des Associations Familiales, réseau éducation-médias, maman pour la vie, et sur Internet vous en trouverez encore de nombreux autres. Produire des dessins animés a un coût, et l'on peut le réduire et ainsi maximiser le retour sur investissement. Ici un document pdf sur le business et la bonne rentabilité dans l'animation en 8 points. Ici, ce que qui intéresse la bourse quand on parle des dessins animés. Le journal du net vous présente quelques séries, ici point de réflexions sur les valeurs, mais plutôt sur les possibles succès commerciaux. Le dessin animé français se veut promouvoir des valeurs, être éducatif (passons sur la qualité graphique...). Ici un mémoire sur cette production qui veut jouer dans la cour des grands. Valeurs et éducation certes, mais que reste-t-il après le besoin de conquérir des marchés ? Plus général : Mathieu Vialettes, étudiant à ESC Toulouse propose un dossier sur le marketing générationnel. Il y étudie l’importance et les caractéristiques de la cible "enfants" pour les professionnels du marketing des biens de grande consommation (pas seulement le dessin animé), sur le site Marketing & Innovation. Il existe des films pensés uniquement pour vendre un produit, par exemple Twinkle Toes, imaginé pour promouvoir des chaussures brillantes pour les filles. Des séries comme Jayce et les conquérants de la lumière, Pokemon, ... ont été produite pour faire vendre des voitures ou un jeux vidéo.